Angel sortait de son cours de défense contre les forces du mal. Dévalant les escaliers, tout en faisant attention à ne pas bousculer les élèves qu’il rencontrait, il se dirigea vers la biblihotèque. Il était seize heures, et il avait une heure de libre avant son cours de potions. Avançant d’une démarche décontractée, la lourde porte en bois se trouvait devant lui. Il avait la ferme intention de faire des recherches sur les vampires. Ces créatures qui avaient ôté la vie à ses parents. Mais pour pouvoir les pourchasser, et les retrouver, il devait découvrir leurs habitudes et qui ils étaient réellement. Le jeune homme portait son sac sur l’une de ses épaules, l’air négligé, tandis que sur son autre épaule, il tenait sa veste à l’aide de deux de ses doigts.
Poussant la porte en bois, il s’engouffra dans la biblihotèque. Madame Pince se trouvait à l’entrée, derrière son bureau. Elle le toisa un instant, interrogatrice, puis lui accorda un petit sourire sympathique. Angel, en bon élève, le lui rendit, puis pris la direction des étagères de bouquins. Il posa son sac, et sa veste sur une table libre, et son regard se balada sur l’étalage de livre face à lui. Il fallait qu’il cherche dans la lettre « V ». Parcourant les étagères blindées de bouquins en tout genre, il se stoppa devant un livre qui se nommait les Valkyries. Les Vampires devaient se trouver après ses créatures logiquement. Laissant son doigts glisser sur les reliures des livres suivants, il s’arrêta soudainement sur Vampires.
S’emparant du bouquin, il regarda à la suite du livre qu’il venait de s’emparer. Trois autres livres portaient le même nom. Le jeune homme les prit, puis reparti à sa place. Il s’aperçut qu’il n’y avait presque pas d’élèves à cette heure-ci. Après tout, c’était la pause de l’après-midi, et ses camarades préféraient rester dans les couloirs, ou la cour, plutôt que de venir s’enfermer dans une salle emplit de livres poussiéreux. S’asseyant, il posa son sac par terre, et sa veste sur le dossier derrière lui, puis il prit le premier livre qu’il trouva sur la pile face à lui. Le plaçant devant lui, il le fixa un instant, et finit par l’ouvrir le plus méticuleusement possible.