~Découragement - Abandon [ Libre ]

Alors que Cédric passait ses mains sur les reins de Narcissa, appuyant de plus en plus, donnant un sentiment d'excitation de plus en plus intense chez la blondinette. Alors qu'elle laissait ses mains vagabonder sur le corps musclé de Cédric, elle porta une de ses mains sur le cou du Poufsouffle mais fut surprise de sentir le contact des doigts brûlant parcourir le bas de son dos, sans faire attention, elle le griffa. Ouvrant rapidement les yeux, Narcissa constata qu'elle l'avait fait saigné et se mit à discrètement sourire alors que leur baiser se faisait plus ardent. Sans cesser leurs baisers, Cédric retourna la situation, calant Narcissa contre les pierres froides du mur de la bibliothèque. La Serpentard émit un léger grognement, devant ce tel changement, mais ne fit rien, bien trop plongée dans leurs baisers, appréciant de plus en plus ce goût de défendu, d'interdit.

Sans qu'elle ne s'y attende, son Poufsouffle recula quelques secondes leurs lèvres l'une de l'autre, les séparant et faisant grimacer Narcissa. Elle avait bien trop prit goût à ses lèvres pour qu'il ose lui retirer de la sorte. Elle fut donc rassurée de voir que quelques secondes après, il se colla d'avantage à Narcissa, lui coupant presque le souffle et se remit à l'embrasser, d'une façon plus brusque, plus sauvage. De plus, les mains de Cédric dans le bas du dos de Narcissa commençait à lui donner des envies de plus en plus osées.

Narcissa émit un léger cri de protestation quand il se sépara une fois de plus de ses lèvres, mais elle fut vite rassurée en voyant qu'il descendait vers la mâchoire de la Serpentard, la couvrant de baisers. Il descendait de plus en plus vers son cou et appréciant ses bisous, Narcissa n'hésita pas à lever la tête vers le plafond, laissant libre le passage à Cédric. Elle se mit alors à frissonner en sentant les mains de Cédric remonter de plus en plus vers son soutien-gorge.

Lâchant un long soupir de plaisir, Narcissa avait l'impression d'être emporter dans un tourbillon savoureux, délicieux mélangeant tous ces sentiments interdits qui lui mettait l'eau à la bouche. N'en pouvant plus de se laisser faire, elle décida d'agir. Doucement alors, elle déplaça ses mains sur le torse de Cédric, gardant la tête levée et les paupières closes, profitant avec soin de chaque baiser. Descendant jusqu'au ventre du Poufsouffle, elle passa ses mains sous son t-shirt blanc et fut tout de suite réchauffée devant la température de son corps. Sans aucune gêne, elle caressa ses abdos, remontant jusqu'à son cœur, où elle posa une de ses mains, laissant les battements rapides de son organe principal l'envahir afin de pouvoir se mettre sur la même longueur d'onde.

Finalement, elle rouvrit les yeux et redressa sa tête, obligeant Cédric à se décaler. Tout en le regardant droit dans les yeux, un sourire énigmatique se forma sur les lèvres rosés de la jeune blonde. Sans plus aucune hésitation, elle attrapa les bords du t-shirt de Cédric, retirant sa main de son corps chaud, puis, elle remonta doucement le vêtement vers le haut. Docilement, Cédric leva les bras et Narcissa pu lui enlever sans difficulté.

Balançant le t-shirt de Cédric par terre, elle admira pendant quelques secondes le torse musclé de Cédric. Parfait, son corps était tout simplement parfait. Remontant ses yeux bleus vers son visage d'Apollon, elle remarqua qu'il souriait mystérieusement, comme s'il avait une idée derrière la tête. Cette pensée fit frémir de désir Narcissa et sans plus attendre, elle attrapa Cédric, le ramenant à elle et l'embrassa avec une telle fougue et une telle sauvagerie qu'elle se demandait comme elle faisait pour tenir encore debout.

Puis, sans qu'elle ne s'y attende, les deux mains de Narcissa furent saisit par celles de Cédric. Sans crainte, elle se laissa faire, se contentant d'approfondir leur baiser; Son Poufsouffle plaça alors chacune des mains de Narcissa contre le mur, au dessus de sa tête, liées avec celle de Cédric qui serraient de plus en plus fort les mains de Narcissa.

Tout en continuant de déposer des baisers brulants dans le cou de la jeune femme, et parcourant son dos en d’infimes caresses, remontant vers son soutien gorge, il l’entendit soupirer d’aise. Souriant contre la peau de la Serpentarde, il sentit ses mains glisser le long de son tee-shirt, pour finalement atterrir dessous. Ses doigts fins caressèrent son torse musclé, et une de ses paumes se plaça sur l’endroit où se trouvait son cœur qui battait à tout rompre. Un frisson lui parcourut l’échine, appréciant le contact des mains de Narcissa sur son torse. Puis, elle décala la tête, obligeant Cédric à stopper les langoureux baisers qu’il déposait dans le creux de son cou. Plongeant dans le regard de la belle blonde, il aperçut un sourire mystérieux sur ses lèvres. Elle finit par remonter son tee-shirt. Cédric, comprenant où elle voulait en venir, leva les bras pour faciliter le retirage du tee-shirt. Narcissa le jeta à terre, et contempla quelques instants ce que le tissu lui avait caché. Un sourire amusé et malicieux fleurit sur les lèvres du Poufsouffle.

La Serpentarde le ramena à elle avec une brusquerie ardente, et l’embrassa fougueusement. Pendant le langoureux baiser, Cédric glissa ses mains dans celles de la jolie blonde. Narcissa approfondissait le baiser, tandis que le jeune homme remontait lentement ses mains jointes avec celles de la fille. Les plaçant au dessus de la tête de Narcissa, les plaquant contre le mur, il les serra de plus en plus en fort. Epris d’une frénésie incontrôlable, il collait son corps contre celui de la Serpentarde. Son ventre était crispé de désir, il perdait tout contrôle, mais savourait chaque frisson, chaque baiser, et chaque souffle de la jeune femme. Les lèvres en feu, il les retira de celles de Narcissa, qui laissa échapper un grognement de mécontentement. Amusé, il reposa quelques instants sa bouche sur la sienne, la retirant avec qu’elle ne s’empare de ses lèvres avec passion. Décidant de la mettre d’égal à égal avec lui, il lâcha l’emprise qu’il avait sur ses mains, lentement. Laissant ses doigts glisser le long de ses bras, il les plaça sur les hanches de la jeune femme. La regardant avec un petit sourire en coin, les yeux brillants, il posa ses doigts agiles sur le bas de la chemise blanche qui recouvrait le corps de Narcissa.

Il détacha lentement le bouton du bas de la chemise, faisant de même avec les trois autres. Il arrivait petit à petit vers la poitrine de la jeune femme, soulevée par sa respiration courte et saccadée. Avec langueur, il détacha le dernier bouton, laissant l’occasion à Cédric d’apercevoir un sous vêtement tout aussi blanc que la chemise. Il fit glisser cette dernière le long des bras de la jeune femme, son regard toujours posé sur la poitrine de Narcissa. Une fois la chemise au sol, il reposa ses mains sur les hanches de la Serpentarde, à présent nues. La sentant frémir sous ses doigts, il glissa ses mains derrière son dos, plongeant dans le regard azur et pétillant de la jeune femme. Ses doigts remontèrent vers l’attache de son soutien gorge, glissant entre le tissu et la peau de Narcissa.

Collant son torse contre la poitrine de la verte et argent, il finit par reposer ses lèvres avec passion sur les siennes. Un baiser langoureux s’en suivit. Leurs langues se rencontrèrent, une danse enflammée se créa entre elles. Cédric aimait sentir la peau brulante de la Serpentarde contre son torse, ne faisant qu’accroitre le désir ardent qui lui brulait l’estomac. Sa bouche finit par se détacher de celle de Narcissa, prenant la direction de son cou. De nouveau, il déposa des baisers enflammés sur la peau de la belle blonde. Commençant par le haut du cou, il descendit jusqu’à sa clavicule. Elle avait redressé la tête, et ses doigts s’étaient engouffrés dans sa chevelure brune. Les mains toujours posées sur le dos de Narcissa, il les descendait en même temps que ses lèvres parcouraient la peau brulante de la Serpentarde. Sa bouche finit par arriver vers la poitrine de la jeune femme, toujours soulevée par sa respiration irrégulière. Déposant des baisers toujours aussi brulants sur sa peau, il parcourait avec frénésie le décolleté de Narcissa.

Détachant ses lèvres avec délicatesse de celle de Narcissa, celle-ci émit un léger grognement, n'appréciant pas le fait qu'il rompt le contact avec elle, sans se soucier de ce qu'elle désirait ou non. D'un geste plus rapide, il replaça ses lèvres sur celle de Narcissa, cette dernière prit ce baiser pour des excuses silencieuse, et tout en souriant malicieusement, elle se décala de Cédric. Lui rendant ses mains, Narcissa les posa sur le torse du jeune homme et se laissa docilement faire quand il plaça ses propres mains sur ses reins, les caressant avec avidité. La regardant droit dans les yeux, Narcissa pu voir un sourire en coin se former sur son visage d'ange. Curieuse, elle haussa un sourcil, et comprit bien vite ce que voulait dire ses regards en feu.

Timidement, il déboutonna les boutons en soie de sa chemise blanche, commençant par le bas puis remontant doucement, faisant languir de désir Narcissa. Arrivant enfin au premier bouton, il le détacha sans plus attendre et retira la chemise de Narcissa, la faisant glisser le long de son corps. Rapidement, elle rejoignit le t-shirt de Cédric et à cette idée, elle se mit à sourire, mutine. Posant ses doigts sur les côtes de Narcissa, Cédric réussit à retirer un frisson de la part de la blonde. Sans hésitation, le Poufsouffle caressa le dos de la blonde, passant à travers les mailles du soutient-gorge, la caressant avec ardeur.

Se collant de plus en plus à elle, Narcissa n'en fut que plus heureuse, particulièrement quand il se pencha pour l'embrasser avec fougue et que leurs langues se retrouvèrent. Narcissa avait l'étrange impression qu'elle aurait du mal à se séparer de lui, une fois qu'elle aurait eu ce qu'elle voulait, mais chassant cette pensée, elle se concentra d'avantage sur le baiser,. Emprisonnant les cheveux châtains de son Poufsouffle dans ses mains fines, elle arqua brusquement le dos, sentant les baisers brûlant de Cédric parcourir sa mâchoire, son cou et sa poitrine.

Pendant quelques minutes, elle le laissa découvrir son décolleté, amusée par le fait qu'il soit si brusque et si abrupt, comme si le fait de l'avoir contre lui était ce qu'il avait toujours voulu pendant ses longues années. Un sourire amusée se plaça sur les lèvres rougit de Narcissa, alors qu'il se redressa et la scruta longuement de ses grands yeux vert bouteille. S'approchant de ses lèvre, elle les embrassa fougueusement avant de se décaler de celles-ci et de se nicher dans son cou, terriblement chaud. Sans qu'il ne s'y attende, elle l'embrassa doucement sur presque chaque parcelle nue de son cou, ayant toujours ses cheveux dans ses mains, elle se mit alors à le mordiller dans le cou, le faisant frémir et grimacer. Ardente de plaisir, Narcissa mordit alors plus fort et aspira un bout de sa peau, jouant avec quand elle était dans sa bouche.

Puis, en se décalant, elle fut amusée de voir qu'un énorme suçon trônait dans son cou. Lui accordant un magnifique sourire, elle se baissa et ramassa son chemisier blanc. Sous les yeux étonnés de Cédric, elle se rhabilla tout en le regardant droit dans les yeux. Chose faite, elle posa ses deux mains sur son torse encore brûlant et l'embrassa doucement, presque tendrement. Elle se décala aussi rapidement et le poussa avec lenteur, afin qu'elle puisse partir. Elle le contourna et reprit ses livres qu'elle avait jetés par terre. Puis, elle se redressa et tout en se recoiffant d'une main, elle lâcha :

- Ne soit pas trop déçu, ce ne serait pas marrant si on ferait tout, aujourd'hui.

Le regardant droit dans les yeux, elle descendit ses yeux bleus vers son cou où un énorme suçon prenait bien toute la place. Elle esquissa un sourire malicieux, assez fière d'elle.

- Et puis, en attendant que tu ne m'attrapes, je te laisse un souvenir de moi, lança-t-elle amusée tout en contemplant son cou. J'espère que tu ne te brûleras les ailes, en m'attrapant, chéri.

Inclinant doucement la tête vers sa clavicule, elle lui adressa un dernier sourire puis tourna les talons et se mit à marcher vers sa place où toutes ses affaires étaient encore éparpillés à droite et à gauche.

Cédric parcourut encore plusieurs minutes le décolleté de Narcissa. Sa douce peau laiteuse glissait sous ses lèvres, il la serrait le plus qu’il pouvait contre lui, sans pour autant l’étouffer. Les mains de la belle Serpentarde se perdirent dans ses cheveux, faisant ainsi accroitre la frénésie qui s’était emparée de lui. Il finit par remonter son regard vert vers le visage de la jeune femme. Ses grands yeux bleus brillaient ardemment. Elle l’embrassa soudainement, avec ardeur et fusion, s’accrochant un peu plus à ses cheveux. Il ne dut pas se faire prier pour répondre au baiser donné, mais fut quelque peu déçu lorsqu’elle retira ses lèvres des siennes.

Ses doigts glissant toujours le long de son dos, Narcissa enfouit son visage dans le creux de son cou. Il en fut quelque peu surpris, mais ceci ne lui déplaisait pas, au contraire. La bouche pulpeuse de la verte et argent se baladait dans son cou, l’embrassant doucement. Puis, sans qu’il ne puisse comprendre quoi que ce soit, elle se mit à lui mordiller frénétiquement la peau. Instantanément il grimaça, mais ne put empêcher un frisson le parcourir. La sauvagerie de Narcissa le faisait frémir, ne faisant qu’accroitre le désir qui lui brulait le ventre.

Il sentait ses lèvres aspirer sa peau avec ferveur, la mordant avec plus de violence. Il ne broncha pas, laissant Narcissa atteindre son but. Sentant sa bouche se retirer de son cou, Cédric mit un certain temps avant de comprendre ce que ce suçotement avait provoqué sur la peau de son cou. Puis, elle se détacha de lui, laissant un magnifique sourire malicieux s’immiscer sur son visage. Sous les yeux effarés du Poufsouffle, elle se pencha, ramassa sa chemise blanche qui jonchait par terre, se rhabillant avec langueur, le jaugeant avec amusement. Stupéfait, il ne disait rien, la regardant se rhabiller silencieusement.

Puis, elle posa ses paumes contre son torse, provoquant un léger frisson chez Cédric. Ses lèvres rencontrèrent les siennes, l’embrassant avec douceur, chose étonnante après les baisers enflammés des derniers instants. Narcissa finit par se détacher de lui, le poussant sur le côté lentement, de façon à ce qu’il lui laisse la voix libre pour partir. Ramassant ses livres éparpillés à même le sol, elle se redressa avec élégance, et se repeigna, tout en brisant le silence installé entre eux :

- Ne sois pas trop déçu, ce ne serait pas marrant si on ferait tout, aujourd'hui.

En effet, Cédric était déçu. Il vit le regard azur de Narcissa se poser quelques instants sur son cou, certainement amusée et fière d’avoir crée ce suçon qui devait certainement être voyant, vu l’acharnement qu’elle y avait mis.

- Et puis, en attendant que tu ne m'attrapes, je te laisse un souvenir de moi, lança-t-elle amusée tout en contemplant son cou. J'espère que tu ne te brûleras les ailes, en m'attrapant, chéri.

Elle inclina la tête, puis tourna les talons après lui avoir adressé un petit sourire mutin. Elle sortit de l’ombre, retournant vers les rayons de la biblihotèque. Le Poufsouffle mit quelques secondes avant de sentir la frustration l’envahir. Cette jeune femme aimait qu’on lui court après, c’était certain. Soufflant d’exaspération, il se pencha pour ramasser son tee-shirt blanc qui trainait sur le sol. Le secouant énergiquement, il se rhabilla, les souvenirs précédents assaillants son esprit.

Il avait réellement aimé l’étreinte partagée avec Narcissa, et regrettait qu’elle ce soit terminée ainsi, si vite, sans qu’il ne puisse la retenir. Jamais, au grand jamais, il n’avait éprouvait ces sentiments, et ce désir de l’instant d’avant. Pas même avec Cho. Là, Narcissa était en quelque sorte un fruit interdit. Et c’en avait été jubilant d’y gouter. Gourmand en cet instant, il en redemandait avidement. Une idée précise en tête, il sortit de l’ombre, avançant comme si de rien était entre les étalages de livres.

Parcourant les rayons, il cherchait avec envie une belle blonde Serpentarde. Il était certain qu’elle n’était pas encore sortie de la biblihotèque. Le plus discrètement qu’il pouvait, il jaugeait les tables, et les couloirs créent par les rayonnages de bouquins. Puis, soudain, il aperçut une tête blonde, et un sourire béat s’imposa sur ses lèvres. Narcissa ne l’avait pas vu, occupée à ranger ses livres. Fixant les rayonnages aux alentours, ils étaient presque déserts. Il se trouvait éloigné du bureau de Madame Pince, de sa place, cette dernière ne pouvait apercevoir ce qu’il se passait de ce côté. Ceci ne fit qu’accentuer son idée première, et ce sourire niais posé sur ses lèvres.

Il fixait Narcissa qui lui tournait le dos, occupée à ranger un livre à sa place initiale. La jeune femme se mit sur la pointe des pieds afin d’atteindre son but, et de suite Cédric se dirigea vers elle avec empressement. Posant une main sur les lèvres de la jeune femme, l’autre encercla sa taille, il ne lui laissa pas le temps de réagir. Même s’il se trouvait derrière elle, le Poufsouffle se doutait qu’elle le reconnaitrait. S’approchant de l’oreille de Narcissa, il susurra :

- Je veux plus qu’un souvenir de toi Narcissa …

Retirant sa main des lèvres pulpeuses de la Serpentarde, il lui intima de se retourner, ce qu’elle fit. Elle semblait à la fois amusée, et surprise. Encerclant toujours sa fine taille d’un de ses bras, il l’éloignant jusqu’au fond du rayonnage, lentement, tout en la regardant avec ardeur. Arrivé à son but, loin des regards indiscrets des quelques élèves se trouvant ici, il la plaqua lentement contre l’étalage de livre. Une main sur ses reins, l’autre se perdit dans les longs cheveux blonds de la verte et argent, et sans lui demander son avis, il posa avec envie ses lèvres sur les siennes.

Narcissa sembla quelque peu réticente au début, puis forçant sans aucune violence apparente sur sa bouche, elle finit par répondre au baiser donné. Le jeune homme était totalement éprit d’une frénésie ardente quand il se trouvait près de la Serpentarde, qu’il lui était tout bonnement impossible de se calmer. Il l’embrassa avec fureur et passion, comme s’il risquait de manquer d’air s’il retirait ses lèvres des siennes. Une danse enflammée joignait leurs bouches, faisant frémir le garçon qui avait le cerveau totalement déconnecté.

Rangeant ses affaires en un petit tas bien précis, Narcissa se rendit compte que certains des livres qu'elle avait choisit n'avait aucun sujet avec ses devoirs. Plissant les le nez et levant les yeux au ciel, elle attrapa deux livres assez épais et se dirigea vers les rayons opposés à la table en bois où était disposés en vrac ses livres. Les serrant contre sa poitrine, elle épiait avec attention les autres rayons qui étaient autours d'elle, consciente qu'elle avait surement blessé ou frustré Cédric et qu'il ne daignerait pas longtemps avant de se montrer.

Bien sûr, elle savait déjà ce qu'elle devrait faire si jamais il revenait à la charge : Lui dire non, l'éviter, puis si ça ne suffit pas, lui lancer un sort pour le calmer. Il était plutôt rare que les hommes que s'appropriait Narcissa ne la laissait pas tranquille, ainsi, soit elle se servait de ses futurs victimes pour l'aider, soit elle leur lançait un sort, histoire de calmer leurs pulsions sexuelles.

Arrivant aux étagères qui concernaient ses livres, la blondinette s'arrêta et rechercha la cote de ses livres, les replaçant ainsi à leur place initiale. Narcissa n'eut aucun mal à trouver la place du premier de ses livres qui était tout près d'elle, sans grande difficulté, elle le remit entre un livre intitulé « La magie au XVIe siècle » et « Les ensorcellements après le conflit des Trolls ». Se retournant, elle rechercha des yeux l'endroit où elle avait trouvé son autre livre, sachant pertinemment qu'elle n'arriverait pas à le trouver aussi facilement que le premier bouquin. Traversant l'allée avec discrétion et souplesse, elle fut surprise de retrouver l'étagère où elle avait trouvé son livre aussi facilement.

Levant les yeux vers l'étagère en bois, elle constata avec lassitude qu'elle n'arriverait pas à atteindre l'étagère en question, sauf si elle se mettait sur la pointe des pieds pour l'atteindre. Hésitant quelques secondes, elle regarda à droite et à gauche, essayant de coller les morceaux si jamais elle se casserait la figure. Quand elle s'aperçut qu'il n'y avait personne dans les rayons, elle se hissa sur la pointe des pieds, tendant le bras vers l'étagère, tirant son bras avec circonspection.

Avant d'atteindre son but, elle sentit une main se poser rapidement sur sa bouche et une autre sur les reins de la jeune femme. Surprise, elle lâcha son livre et son cœur rata un battement. Rien qu'en sentant l'odeur parfumé que dégageait son agresseur, elle comprit rapidement qu'il s'agissait de Cédric Diggory. Elle l'avait frustré, blessé, mit dans une colère folle et peut-être pire encore. Elle n'appréciait pas le fait d'être traitée comme une simple femme pour qui il avait le béguin, dont il avait envie d'avoir dans son lit. Narcissa Black n'était pas une catin, ni une traînée. Elle choisissait qui, quand, comment et pourquoi. Et non l'inverse.

Elle fut donc surprise de sentir que derrière sa colère se cachait un désir de plus en plus ardent qui la poussait à continuer ce jeu et non à l'arrêter, comme elle l'aurait fait dans n'importe quelle situation. Cédric la ramena brusquement à la raison, quand il se rapprocha de son oreille, écrasant une de ses joues dans les cheveux dorés de Narcissa :

- Je veux plus qu’un souvenir de toi Narcissa …

Cette dernière sentit son cœur battre de plus en plus vite et sa respiration s'enflammer sous les doigts perfide du Poufsouffle. La retenant dans un geste brutal, elle sursauta presque devant tant d'impatience et de désir. Se retrouvant face à son agresseur, elle fut amusée de voir Cédric aussi surprenant, elle n'aurait jamais pensé qu'il était aussi prompt et si désireux. Curieuse de savoir ce qu'il allait à présent faire, elle se laissa faire, le laissant serrer d'avantage sa taille fine et la pousser délicatement vers le fond du rayon, encore plus sombre que le premier endroit où ils s'étaient embrassés.

Une fois qu'ils étaient loin de tous regards étrangers et surs d'être tranquilles, Cédric poussa Narcissa jusqu'à une étagère, calant son dos entre plusieurs ouvrages. Puis, sans demander quoi que ce soit, il se pencha sur elle et l'embrassa avidement, comme si ses lèvres lui avaient manqués et qu'il ne vivait plus que pour elle. En ayant cette impression, Narcissa se figea, ne répondant pas à son baiser, lui barrant l'entrée pour un baiser sensationnel.

Puis, en sentant Cédric forcer de plus en plus, sans pour autant être agressif - du moins pas assez pour lui faire mal - elle se laissa aller, rendant son baiser et laissant leurs langues s'entrelacer, s'embrasser et se perdre dans un plaisir savoureux. Plongée dans ce baiser, Narcissa plaça une de ses mains dans les cheveux châtains du jeune homme, attrapant une poignée de ses cheveux tout en les serrant fermement, sans pour autant lui faire mal. Une autre de ses mains se colla contre son torse, accrochant fermement son t-shirt. Le désir commençait de plus en plus à monter et si elle continuait dans cette voie, Narcissa savait qu'elle serait certainement fichue.

Séparant doucement ses lèvres de celles de Cédric, elle colla son front contre le sien, reprenant sa respiration doucement. Un sourire se posa sur le visage angélique de Narcissa et elle plaça ses deux mains autour de la nuque du jeune homme, le serrant fermement et le ramenant d'avantage à elle.

- Serais-tu prêts à te couper les ailes pour moi, mon ange? Demanda-t-elle la respiration encore saccadée, ses lèvres frôlant une des joues de son Poufsouffle.

Elle fut amusée de voir que Cédric se mit à frissonner, la serrant encore plus fort, comme si elle se risquait de partir, une fois de plus, le laissant bredouille et comme un idiot en ayant pour seule compagnie sa frustration.

Un fin sourire naquit sur les lèvres de la blondinette, et sans attendre plus longtemps sa réponse, elle remit ses lèvres contre les siennes, désireuse de lui, folle de sexe et de jeu. Tout en l'embrassant bestialement, elle sentit les mains de Cédric parcourir son corps, descendant jusqu'à ses fesses. De là, il la souleva légèrement, arrachant un cri de surprise à Narcissa. Rentrant dans le jeu, la Serpentard se laissa faire et écarta les jambes, les plaçant de chaque côté du bassin de Cédric qui s'appuyait contre elle, évitant qu'elle ne tombe.

Ne tenant plus, elle passa ses doigts fins sous le t-shirt de Cédric et fit glisser ses mains sur son torse brûlant et musclé puis sans attendre plus longtemps, elle attrapa le bord de son t-shirt et le retira dans un geste rapide. Docilement et comme s'il avait comprit ce qu'elle s'apprêtait à faire, Cédric quitta les lèvres de Narcissa et leva les bras docilement, laissant la liberté à Narcissa de le déshabiller. Puis, une fois que le t-shirt fut retiré et encore accroché dans les doigts expérimentée de la jeune femme, Cédric se pencha directement sur Narcissa, comme s'ils étaient deux aimants qui s'attiraient et avaient du mal à se quitter.

La blonde avait toujours le t-shirt du brun dans ses doigts, et tout en sentant le corps de Cédric s'appuyer de plus en plus contre elle, Narcissa décida d'envoyer son t-shirt valser sur les pierres froides de la bibliothèque.

Tenant toujours la fine taille de Narcissa, Cédric se délectait silencieusement du baiser savoureux qu’elle lui rendait. La main de la jeune femme se perdit dans ses cheveux, les empoignant ferment sans pour autant tirer dessus telle une furie. Tandis que son autre main se posait contre son torse, tenant son tee-shirt avec ferveur et puissance.

Puis, la jolie blonde se sépara de la bouche du Poufsouffle, et colla son front contre le sien. Cédric pouvait sentir son souffle chaud et saccadé glisser sur son visage. Il la vit sourire, puis Narcissa entoura sa nuque de ses mains, le rapprochant un peu plus d’elle. Sa joue se colla à la sienne, le parfum sucré de la demoiselle titillant ses narines.

- Serais-tu prêt à te couper les ailes pour moi, mon ange? Demanda-t-elle.

Le concerné sentait les lèvres de Narcissa bouger contre l’une de ses joues. Aux mots de la jeune femme, il ne put réprimer un frissonnement de désir. La serrant un peu plus contre lui, ayant inconsciemment peur qu’elle le laisse de nouveau comme un idiot, le désir ardent coulant dans ses veines, il laissa son regard verdâtre se perdre sur ses lèvres pulpeuses. La jolie blonde ne parût pas attendre de réponse, car elle reposa sa bouche chaude contre la sienne. Un baiser fervent unissait leurs lèvres, et le jeune homme ne pouvait plus s’en détacher, avide de leur gout et du plaisir qu’elles lui procuraient.

Ses mains sur ses reins, il les laissa glisser le long de son dos, remontant et descendant, puis, il se stoppa sur les fesses de la jeune femme, qui hoqueta de surprise. Cédric la releva lentement, et il fut ravi que Narcissa comprenne où il voulait en venir. Elle écarta les cuisses, et enroula ses jambes autour de sa taille. Se collant un peu plus contre le corps de la jeune femme, le garçon se trouvait dans un état fiévreux, ne voulant qu‘une chose ; la jolie blonde qu‘il était en train d‘embrasser fougueusement. Le fait que quelqu’un puisse les surprendre n’en était que plus jubilant, un jeu illicite, mais terriblement enivrant et ardent.

Cédric sentit les doigts fins de la Serpentarde glisser sous son tee-shirt, et ses paumes se coller contre sa peau brulante. Son cœur ne cessait de faire des louper à chacune des caresses provenant de Narcissa, ne faisant qu’accroitre son envie première. Puis, elle attrapa son tee-shirt, et le releva vivement. Comprenant où elle voulait en venir, il se retira de ses lèvres à contrecœur, colla un peu plus son bassin au sien, puis souleva sagement les bras, afin de retirer son tee-shirt. Une fois ce dernier retiré, le jeune homme replongea directement sur les lèvres de la jolie blonde, oubliant le reste.

Il se collait toujours un peu plus contre elle, comme s’il voulait ancrer son corps contre le sien. Ses mains, qui se trouvaient toujours sur les fesses de Narcissa, afin de mieux la caller, et qu’elle ne tombe pas, se mirent à les malaxer doucement sans aucune gêne apparente. Se retirant de ses lèvres, sa bouche parcouru sa mâchoire, pour finir par glisser vers son cou, puis son décolleté. D’instinct, la jolie blonde releva la tête, et Cédric sentit de nouveau une de ses mains se perdre dans sa chevelure brune. Remontant soudainement Narcissa contre lui, la callant un peu mieux contre l’étagère derrière elle, il retira ses mains de son fessier, pour s’attaquer à son chemisier.

Il laissa glisser le bout de ses doigts dessous le tissu, dans son dos. Retraçant le contour du soutien-gorge, ses mains atterrirent sur sa poitrine. De suite, il retira ses lèvres de sa peau brulante, et jaugea la jeune femme de son regard pétillant. Le visage relevé, il la vit se mordre un instant la lèvre inférieur. Cette vision le fit frémir, et sans prévenir, il arracha violemment le chemisier, ne pouvant plus se contenir d‘avantage. Les boutons claquèrent un à un, tombant sur le sol dans un petit bruit sourd. Narcissa le regarda un instant, étonnée. Puis, il vit apparaitre un sourire mutin sur ses lèvres, qu’il emprisonna de nouveau, pendant un court instant. Lentement, il posa ses mains sur ses épaules, tout en la toisant fiévreusement, et commença à faire glisser le tissu avec langueur sur ses avant-bras. Instantanément, elle retira ses bras qui entouraient sa nuque, pour le laisser retirer le tissu blanc. Une fois que les bras de Narcissa furent dénudés, il encercla fermement sa taille, et décolla son dos de l’étagère afin que la chemise tombe à terre. La manœuvre finit, il replaça la jeune femme où elle se trouvait l’instant d’avant, avec délicatesse.

Son regard se perdit sur la poitrine de la Serpentarde qui se soulevait avec ardeur. Un petit sourire apparut sur ses lèvres, et il plongea son visage dans le décolleté de la demoiselle. Il l’entendit hoqueter de surprise, ce qui fit accroitre son sourire contre la peau brulante de Narcissa. Déposant de petits baisers papillons entre les deux seins de la jolie blonde, ses mains tenaient fermement sa taille. Les doigts de la Serpentarde glissèrent dans ses cheveux, les lui empoignant de temps à autre. L’excitation montait partout en lui, il ne réfléchissait plus, ses envies prenant le relais de sa raison.

Il finit par remonter ses lèvres, vers celles de la jeune femme. Entamant un baiser tout aussi impétueux, et enflammé, Cédric continuait de coller son torse contre sa poitrine. Ses mains se posèrent contre ses reins, et il les fit glisser vers le fessier de la demoiselle. Laissant ses doigts prendre place entre le jean et le sous vêtement qui cachait son intimité, il les posa sur ses fesses, puis la remonta un peu plus, afin qu’elle ne glisse pas. Se détachant de la bouche de Narcissa, il lui lança un sourire malicieux. Ses mains continuaient de caresser avec langueur son postérieur, créant ainsi un mordillement frénétique de la lèvre inférieur chez la jolie blonde.

Sa bouche repartir à la conquête de la poitrine de Narcissa. Déposant quelques baisers brulants contre sa peau, sa langue prit petit à petit le relais. Il fut ravi lorsqu’il la sentit frissonner à un de ses coups de langue qu’il donnait près de son soutien-gorge. Finalement, l’esprit joueur, il la fit glisser sous le tissu en dentelle blanc, qui soutenait la poitrine ferme de la jeune femme. Elle sursauta de surprise, tirant un peu plus sur ses cheveux qu’auparavant. Laissant sa langue caresser la peau brulante d’un des seins de Narcissa, cette dernière descendit ses mains contre son torse , laissant le bout de ses doigts glisser contre sa peau brulante, arrachant quelques frissonnements au jeune homme.

L'embrassant de plus belle, Narcissa sentit le jeune Cédric caresser doucement sa peau laiteuse, passant ses mains dans son dos et descendre doucement vers ses fesses. Elle hoqueta de surprise en sentant les mains de Cédric la remonter légèrement tout en malaxant son fessier de façon plutôt agréable, lui donnant des frissons de plus en plus palpable et lui faisant monter une pulsion de désir, qui devenait réellement incontrôlable. Puis, son Poufsouffle quitta les lèvres de la douce Narcissa, lui arrachant un grincement de frustration. Malgré tout, elle le laissa faire, se disant qu'après tout, c'était chacun son tour.

Elle releva docilement la tête en sentant Cédric s'attaquer à sa mâchoire et son cou, la gâtant d'innombrable baisers sur sa peau brulante de plaisir. Elle laissa échapper de ses lèvres, un soupir de plaisir en sentant son amant s'attaquer à son décolleté, prenant avec sérieux le rôle de lui attribuer un plaisir sans mérite. Serrant d'avantage ses cheveux, elle ferma les yeux et se laissa guider par ce tourbillon de bonheur qui s'emparait peu à peu d'elle. Narcissa sentit les mains expérimentés de Cédric déboutonner doucement et avec une certaine malice les boutons de son chemisier, montrant une bonne partie de son soutien-gorge de la même couleur que son chemisier. Elle se laissa faire, profitant des mains de Cédric qui caressait avec tendresse sa poitrine, se mordant doucement la lèvre inférieure.

Brusquement, elle sursauta presque en entendant les boutons de son chemisier claquer tous en même temps et tomber par terre dans un bruit sourd. Elle rouvrit les yeux et un sourire mutin et amusé fleurit sur ses belles lèvres que Cédric embrassa rapidement. Elle savoura ce petit baiser, profitant du moment présent et sachant pertinemment que ce serait surement la seule fois qu'elle pourrait avoir Cédric Diggory à son quatre heure. Sans même s'en rendre compte, elle remarqua que sa chemise glissait de plus en plus sur ses épaules, poussée par les doigts de Cédric. Enfin, elle se retrouva à moitié nue devant son petit-ami du jour et elle ne pu s'empêcher de sourire en voyant l'effet qu'elle lui faisait. Il était carrément dingue d'elle, Narcissa en était certaine. Sure qu'il ne lui ferait donc, aucun mal, elle continua son manège, se laissant chouchouter, comme si c'était une grande et belle princesse. Elle fut tout de même prit au dépourvue en sentant Cédric embrasser sa poitrine et faire de légers baisers entre ses seins, lui procurant des frissons des pieds à la tête.

Ardente de plaisir et de tentation extrême, Narcissa se cambra légèrement, sentant son bas-ventre se tordre dans tous les sens en sentant les baisers de Cédric de plus en plus volcanique, ses mains qui la tenait fermement au niveau de la taille et le poids de son corps brûlant contre le sien, preuve qu'il était réellement là, avec elle, et que tous ceci n'était pas un profond fantasme refoulé. Elle fut heureuse de le voir remonter à son visage et lui donner un baiser tout aussi sensuel que lui. La jeune femme se cambra quelque peu en sentant les mains de son Poufsouffle explorer chaque recoin caché qui était dans son jean, restant sur le tissu de sa petite culotte blanche, il tenait fermement dans ses mains les fesses de Narcissa, la remontant d'avantage à lui. Sans souffle, Narcissa quitta les lèvres de Cédric, relevant doucement la tête et remarquant un sourire perché sur les lèvres de ce dernier, apparemment aussi excité qu'elle.

Sentant Cédric continuer son petit manège et caressant avec une certaine sensualité ses fesses, Narcissa émit un soupir de plaisir tout en se mordillant la lèvre inférieure, la mordant afin de retenir le désir qui ne cessait d'augmenter dans son corps de princesse, la mettant à bout et lui faisant perdre le contrôle. Complètement perdre le contrôle. Continuant son petit jeu vicieux, Cédric redescendit vers sa poitrine, la caressant avec ses lèvres, lui offrant des baisers qui commençait à lui brûler la peau et à la picoter de plus en plus. Elle rouvrit brusquement les yeux en sentant la langue de son amant s'insinuer dans son soutien-gorge, lui donnant une envie folle de lui. Elle s'accrocha plus vigoureusement à la chevelure du jeune Poufsouffle, le serrant encore plus qu'il ne l'était.

Continuant son petit jeu perfide, Cédric réussit à arracher un petit cri de plaisir à Narcissa, qui se tenait de plus en plus à lui, serrant avec intensité son épaule musclé dénudé, enfonçant ses ongles dans sa chair, le griffant presque à sang. Elle remarqua que le Poufsouffle cessa ce qu'il avait entreprit et remonta doucement vers Narcissa, un sourire mauvais accroché aux lèvres. Le trouvant irrésistiblement craquant, la petite blondinette se mordit frénétiquement une de ses lèvres et se jeta littéralement sur sa bouche, l'embrassant avec ardeur, suçotant une de es lèvres et le mordillant de temps à autres, sentant que quelques fois, Cédric souriait durant leur étreinte.

Continuant de l'embrasser, Narcissa abaissa ses mains, caressant doucement Cédric dans sa nuque, avant de descendre sur les bras du jeune homme, dorlotant avec passion ses épaules et ses avant-bras, puis finit par arriver vers les abdominos du jeune homme, où elle fut plus appuyé dans ses caresses, sachant que ça le rendrait certainement plus fou que les autres parties de son corps. Amusée, elle cessa de l'embrasser et se nicha dans son cou, l'embrassant par-ci et par-là dans ce dernier, mettant de temps à autre la langue, jouant avidement avec le feu. Tout en faisant cela, Narcissa baissa doucement ses mains vers les boutons du jean.

Enfin, elle le mordit sauvagement dans le cou tout en déboutonnant les boutons en ferraille, prenant délicieusement son temps, en sentant malgré le jean, le désir de plus en plus intense de Cédric, qui semblait terriblement à bout. Un sourire sardonique s'immisça sur ses lèvres, alors qu'elle l'embrassait dans le cou. Puis, remontant vers son visage d'Apollon, elle posa son front contre le sien et le regarda droit dans les yeux alors que ses mains de fées était entrain de le déshabiller, doucement mais surement.

Arrivant à la braguette, elle n'eut aucune hésitation en sentant la peau brûlante de Cédric frisonner contre la sienne, lui provoquant à son tour un terrible frisson qui fit sourire son amant. Elle lui rendit son sourire et se pencha sur ses lèvres, l'embrassant fougueusement, mélangeant passion et plaisir. Au bout de quelques longues secondes, se laissant embrasser par Cédric, elle finit ce qu'elle avait commencé et remonta doucement ses mollets vers le ventre du jeune homme, qui la souleva, comprenant ce qu'elle était entrain de préparer. Chose faite, Narcissa fit descendre d'un trait le jean du jeune homme et aperçut un boxer noir faire son apparition. Amusée et fière d'elle, la petite Serpentard ne put s'empêcher de laisser ses mains traîner sur ce dernier vêtement, caressant doucement le tissu où elle sentait le sexe de Cédric devenir de plus en plus dur.

N'en pouvant plus, Narcissa joua quelques secondes avec l'élastique de son boxer et rentra sa main dans son intimité, sans aucun gêne, continuant de l'embrasser avec ardeur. Elle sentit son amant pousser un gémissement de plaisir durant leur baiser, ce qui l'excita d'avantage et qui la poussa à continuer. Prenant le sexe de Cédric dans ses mains agiles, elle le caressa doucement avant d'entamer plusieurs caresses appuyés et fortement enflammant, qui mit le jeune homme dans un état pas possible. Il poussa plus qu'elle ne l'était Narcissa contre le mur et recommença à l'embrasser dans le cou tout en poussant quelques gémissement plus appuyés devant l'expérience et le plaisir qu'arrivait à faire Narcissa, de ses mains.

Au bout d'un temps, elle retira sa main et la remonta doucement vers la nuque de son amant, s'agrippant fermement à sa peau fiévreuse. Il redressa sa tête quelques secondes, l'embrassa sauvagement et la lâcha brusquement, faisant en sorte que Narcissa se retrouve les pieds sur Terre. Elle le regarda un moment, incrédule, mais n'eut pas le temps de poser d'autre questions, qu'il la retourna, la mettant face au mur froid. A l'aide de ses mains, il l'encercla à la taille, tout en l'embrassant fougueusement dans le cou et dans son décolleté. Narcissa sentit les mains de Cédric doucement vers son jean et elle posa ses propres main sur celle de son amant, l'observant défaire les boutons de son jean et descendre la braguette. Se doutant de ce qui allait arriver, elle retira ses talons en les balançant vers un coin aussi sombre que l'endroit où ils se trouvaient, les laissant tomber dans un bruit de claquement.

Enfin, son jean fut défait et Cédric le baissa doucement jusqu'à ses hanches, de là, il arriva jusqu'à ses pieds et sans plus attendre, le jeune homme la retourna de nouveau et la rattrapa par les fesses, la portant de nouveau. Comme la première fois, Narcissa se laissa faire et écarta doucement ses jambes, les plaçant de chaque côté du bassin du jeune homme. Directement et sans attendre, Cédric l'embrassa passionnément et Narcissa pensa avec soulagement qu'elle avait bien fait de mettre une petite culotte à élastique où Cédric n'aurait qu'à défaire les deux petits nœuds qui se trouvait de chaque côtés de la culotte pour qu'elle ne porte plus de vêtement.

Tout en l’embrassant fougueusement, Cédric sentit les mains de la jeune femme se balader tout d’abord sur ses bras, puis glisser vers ses épaules, et enfin poser ses paumes contre son torse. Prodiguant des caresses poussées contre ses abdominaux, le jeune homme perdit le contrôle de l’action présente. Narcissa effleurait avec amusement son torse, le faisant frémir de plaisir. Elle cessa leur baiser, et enfouit son visage dans le creux de son cou. Sa respiration se faisait plus saccadée, et ses idées se perdaient dans les méandres de ses pensées, totalement fou des caresses données par la Serpentarde. Il sentit ses mains descendre de plus en plus vers son jean, ne le rendant que plus fiévreux.

La bouche de Narcissa embrassa ardemment la peau de son cou, le mordillant frénétiquement par la suite. Il appréciait chaque caresses données avec les lèvres de la jeune femme, contractant son estomac de désir. Soudain, ses dents entamèrent sa peau, tout en déboutonnant les boutons de son jean. Elle le faisait languir, ne faisant qu’accroitre l’envie du jeune homme. Malgré la frustrante lenteur dont elle faisait part, il ne broncha pas, la laissant continuer ce petit jeu enflammé. Au fil des secondes, son caleçon se faisait de plus en plus gênant, et les baisers donnés par Narcissa dans son cou, le faisaient jubiler. Elle finit par remonter son visage vers le sien, et posa son front contre son front. Tout en le jaugeant de son regard pétillant de malice, elle poursuivait le déshabillement de son jean.

Cédric frissonnait d’une envie irrépressible. Les doigts de Narcissa descendirent sa braguette sans hésitation, et il sentit son corps frémir, faisant ainsi apparaitre un sourire sur ses lèvres. Elle lui rendit ce dernier, puis l’embrassa ardemment, avec plaisir. Continuant leur baiser passionnel, la jeune femme remonta ses mollets et Cédric comprit instantanément ce qu’elle voulait faire. Il la souleva, tout en l’embrassant, et elle baissa son jean d’un trait, dévoilant son boxer noir, devenu étroit. Il retint un gémissement en sentant les mains de Narcissa effleurer son sexe à travers le tissu. Le phallus de Cédric se durcissait de plaisir et d’envie ardente. Il n’allait pas tarder à perdre pied avec les caresses de la jeune femme. Elle se mit à jouer avec l’élastique de son boxer, augmentant son désir. Soudain, sa main glissa contre son anatomie, provocant une vague de chaleur à travers le corps du garçon.

Il ne put retenir un gémissement contre les lèvres de Narcissa. Ce fut comme un accord, et la jeune femme saisit sa virilité durcit. Chaque caresses poussées, et ardentes qu’administrait la verte et argent à Cédric, le mit dans un état second, enveloppé dans une bulle de désir et de plaisir incontrôlé. Plaquant un peu plus Narcissa contre le mur derrière elle, perdant peu à peu pied, il enfouit son visage dans son cou, et entreprit d’embrasser chaque parcelles de sa peau. Il ne pouvait retenir des grognements rauques de plaisir contre son cou. Elle lui faisait inévitablement perdre la tête avec sa douce torture, qui était tout simplement jouissif pour le garçon. Au bout de quelques minutes de caresses plaisantes données sur son sexe, elle retira sa main de son boxer, et la plaça derrière sa nuque. Cédric finit par remonter son visage du cou de Narcissa, et l’embrassa avec fougue.

Décidant de la mettre égal à égal avec lui, il la lâcha soudainement, faisant ainsi reposer les pieds de la jeune femme à terre. Pendant un instant, elle parut troublée, puis sans lui dire quoi que ce soit, il la mit face au mur de pierres froides derrière elle. Il encercla fermement sa fine taille de ses bras puissants, et déposa des baisers brulants dans le creux de son cou, humant son parfum sucré. Ses lèvres descendirent jusqu’à son décolleté, continuant d’embrasser sa peau enflammée. Il finit par descendre ses mains petit à petit vers le jean de la jeune femme. Arrivé aux boutons du pantalon, elle posa ses mains sur les siennes, sans pour autant l’empêcher de lui retirer son jean. Il ne put pas aller aussi lentement qu’elle l’avait fait avec lui. Son plaisir devenait de plus en plus ardent et pressant, contre le fessier de son amante, et il avait du mal à se faire violence pour ne pas la faire sienne durant plusieurs minutes, tout de suite.

Déboutonnant son jean, il abaissa sa braguette avec agilité. Narcissa l’aida dans sa tâche en retirant ses chaussures à talons, et les jetant un peu plus loin. Cédric descendit le pantalon défait contre les hanches de la jeune femme, puis sur ses cuisses, sur ses tibias, et enfin, il arriva jusqu’à ses pieds. Impatient, il la retourna face à lui, et la replaça comme l’instant d’avant. Les mains posées sur les fesses de la jeune femme, afin de mieux l’élever, elle entoura de nouveau son bassin de ses jambes. De suite, il reposa ses lèvres sur les siennes avec fougue et passion. Ses mains reprirent le même manège que précédemment, malaxant le fessier de Narcissa avec envie et désir. Ses doigts glissèrent aux extrémités de la culotte de la jeune femme, puis passèrent sous le tissu, rencontrant sa peau tiède. Continuant ses caresses enflammées, il accentua le baiser, rencontrant la langue de la Serpentarde avec une passion enivrante.

Il sentait parfois son corps frissonner contre le sien, contractant son estomac de plaisir, et durcissant un peu plus sa virilité coincé dans son caleçon. Son désir décuplait au fil des secondes, sans qu’il ne puisse rien contrôler. Narcissa avait réussi à lui faire totalement perdre la tête, et à présent il était tout à elle. Une de ses mains s’aventura lentement vers l’intimité de la jeune femme. Il la fit glisser devant son bas-ventre, tout en continuant son baiser ardent. Lentement sa main vint caresser son sexe déjà humide de plaisir, et un petit gémissement glissa des lèvres de son amante. Effleurant lentement son intimité, ses doigts finirent par caresser son clitoris. Instantanément, il sentit Narcissa se cambrer vers lui, et il ne put retenir un sourire mutin. Retirant ses lèvres des siennes, il plongea de nouveau dans son décolleté, procurant à la jeune femme d’innombrables caresses, et baisers enflammés.

Le jeune homme accentua ses pressions faites par ses doigts, contre le point G de la verte et argent, qu’il entendit gémir, le visage relevé. Sa langue parcourue son décolleté, effleurant les seins durcit de la belle blonde. Il finit par ralentir ses caresses contre son intimité, n’allant que très lentement, décuplant son plaisir. Son autre main se trouvait toujours sous la culotte de Narcissa, où il malaxait sa fesse gauche. Les bras de la jeune femme entouraient la nuque de Cédric. Elle plantait ses ongles, où griffait sa peau. Mais il ne bronchait pas, au contraire. Cela lui permettait de savoir si elle était aussi éprise de désir que lui. Et finalement, la réponse restait convaincante. Il la voulait. Il la voulait pour lui seul pendant plusieurs minutes. Car, même si en cet instant son cerveau était sur pause, il savait inconsciemment, qu’elle n’appartiendrait jamais à personne concrètement.

Cédric finit par retirer ses doigts du clitoris de la jeune femme, et partie plus loin dans son intimité. Caressant sans aucune pudeur son sexe brulant, il releva la tête de sa poitrine, toisant avidement le visage relevé de Narcissa. De petits gémissements glissaient de temps à autre entre ses lèvres pulpeuses, entrouvertes, au fur et à mesure que ses caresses prenaient de l’ampleur. Cette vision le fit frémir de la tête au pied, et il retira soudainement sa main de son intimité. Il la vit frustrée par son geste, et il s’empressa de déposer sa bouche sur la sienne avec envie. Ses deux mains se posèrent de chaque côté de la taille de la belle blonde, ses doigts attrapant les deux petits nœuds qui retenaient le bout de tissu cachant son sexe. Lentement, il s’empara d’un des bouts de ficelles, et tira avec langueur dessus. Le nœud défait, il la souleva promptement, faisant tomber la culotte de la jeune femme à terre.

La collant un peu plus contre le mur, les mains de Narcissa se baladèrent de nouveau sur son torse, et descendirent vers son boxer. La suite était fatidique, ils s’étaient cherchés, à présent ils se trouvaient. Retirant ses lèvres des siennes, il la jaugeant de son regard brillant de désir, et elle fit glisser le morceau de tissu gênant, qui retenait sa virilité durcit. Cédric l’aida dans sa tâche, se décalant légèrement d’elle, afin qu’elle puisse retirer sans obstacle son boxer. Il glissa le long de ses jambes, et le jeune homme sans débarrassa avec rapidité. S’approchant lentement de visage de Narcissa, il posa de nouveau sa bouche sur la sienne, entamant un baiser tout aussi passionné que les autres. Collé contre son corps brulant, il la souleva quelque peu, et entra lentement en elle, ne pouvant retenir un petit gémissement contre la bouche de son amante.